jueves, 30 de agosto de 2018

Estamos a un mes y medio para que se termine este ano. Y  me gustaria hacer un balance  de las cosas que   he hecho en este ano.
Lei poco.  Un mundo sin fin/ de Kent Follet. Como siempre  me dejo un buen sabor de boca.   Lo he estado siguiendo despues de haber leido Los Pilares de la tierra, Despues la caida de los gigantes y el invierno de el mundo" .
Tambien lei: Pajaro espino.  que me encanto.

Una estrella..."El azul de la Virgen es una novela histórica escrita en el 1997 por Tracy Chevalier. Se basa en la historia de dos mujeres cuyos destinos se unen tras muchos ...
Falling Angels/ 

The Lady and the Unicorn

 Yo soy Malala
Girl with a Pearl Earring is a 1999 historical novel written by Tracy Chevalier. Set in 17th century Delft, Holland, the novel was inspired by Delft school painter ...

author of Edge of EternityWinter of the WorldFall of GiantsThe Pillars of the Earth, ... World Without End is the sequel to The Pillars of the Earth. ... His new book, World Without End, lands in the #1 spot on hardcover fiction; ..


Paul Verlaine


 Paul VERLAINEvoir poètes, nacido el 30 de marzo 1844 - Metz (57), fallecido el 8 de enero 1896 a la edad de 51 años (Padres : MNicolas Auguste VERLAINE 1798-1865 &  F Elisa Stéphanie DEHÉE 1809-1886) con

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“Autumn Song” by Paul Verlaine


When a sighing begins
In the violins
Of the autumn-song,
My heart is drowned
In the slow sound
Languorous and long
Pale as with pain,
Breath fails me when
The hours toll deep.
My thoughts recover
The days that are over,
And I weep.
And I go
Where the winds know,
Broken and brief,
To and fro,
As the winds blow
A dead leaf.
“Chanson d’automne” by Paul Verlaine, from Poèmes saturniens (1866). Translated by Arthur Symons in Poems (First Collected Edition, 1902)

En robe grise et verte avec des ruches,
Un jour de juin que j'étais soucieux,
Elle apparut souriante à mes yeux
Qui l'admiraient sans redouter d'embûches ;
Elle alla, vint, revint, s'assit, parla,
Légère et grave, ironique, attendrie:
Et je sentais en mon âme assombrie
Comme un joyeux reflet de tout cela ;
Sa voix, étant de la musique fine,
Accompagnait délicieusement
L'esprit sans fiel de son babil charmant
Où la gaîté d'un cœur bon se devine.
Aussi soudain fus-je, après le semblant
D'une révolte aussitôt étouffée,
Au plein pouvoir de la petite Fée
Que depuis lors je supplie en tremblant.
(La bonne chanson, Paul Verlaine)
Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon cœur
D’une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l’heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure;
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.